Cognez Et Entrez

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Soyez Les Bienvenues Dans Ma Petites Demeurs

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Gwalchjune vint faire une petite visite à son amie Crysania. Il cogna à la porte mais comme il ne semblait y avoir personne n'osa entrer. Il choisit plutot de s'assoir un instant sur la petite chaise qu'elle avait placée non loin de la porte.

Il observa alors la petite maison et constata qu'elle avait grand besoin d'entretien, surtout le toit. Il ne put s'empêcher de sourire lorsque s'imposa à lui l'image de ces long cheveux roux qui jamais ne se reposaient sur ces si jolies épaules car le corps sous eux était toujours en mouvement entre le poste de police, la mairie, le prévôt, les bureaux de Sabaudia,...

Sa maison était bien à son image, toute occupée qu'elle est à prendre soin des autres.

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La jeune femme arriva directement du village, en passant par les tavernes qui étaient tous sans exception fermer, elle rentra chez elle.

Sur la route, un peu au loin, elle vit une silhouette assise. Crysania pressa le pas. C’était la première fois qu’il y avait quelqu’un devant chez elle.

Tout en s’approchant, elle reconnue Gwalchjune son ami.

Messire ! Il y a longtemps que vous êtes là ? Avez-vous un problème ?

Malgré son air surprise et interrogatif, elle était bien contente de le voir là.

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Gwalchjune regardait Crysania s'approcher. Il lui fallu un peu de temps pour réaliser qu'il souriait à la venue de son amie. C'est avec ce grand sourire qu'il se leva, bras ouvert:
-Mais vous alors, en voilà des manières, vous ne m'invitez pas? Et dire que j'avais apporté une pleine outre de cidre. Des pommes, je me suis juré de plus en manger... mais j'ai jaimais promis de pas en boire!

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Crysania ne pu s'empêcher de sourire. Elle fit l'accolade à son bon Sergent.

Bien sure que je vous invite à entrer. Je suis très heureuse de vous voir.
En plus, de la cidre... Je n'ai jamais goûté...

Sur ces mots, elle se dirigea vers la porte et l’ouvrit. Elle lui fit signe de passer devant elle. Crysania le suit juste derrière lui en refermant la porte.

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Gwalchjune entre et observe l'intérieur de la demeure de Crysania. Le décor semble inspiré de...

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En ouvrant la porte, on peut voir un intérieur peu meublé, mais chaleureux.

À la gauche une cheminé est dressée. Quelques buches sur le côté droit de la cheminée est empilées.

Au fond de la petite pièce on peut voir une fenêtre avec de jolie rideau en dentelle blanc. De cette fenêtre, on peut voir derrière la chaumière, non loin un grand champ de blé pousse doucement.

Au milieu de la pièce, une petite table rectangulaire avec deux chaises de bois. Au centre de cette table qui sur le dessus, on peut remarquer qu'elle est loin d'être neuve. Beaucoup d'égratignure, venant de coup de couteau. Un chandelier est au milieu avec une bougie, quelques parchemins, une plume et de l'encre y sont présent aussi.

Séparer par des volets, un lit draper de couleur blanc et mauve avec quelques cousins pour faire jolie. Sur le côté droit du lit, une petite table de chevet avec un chandelier est dressé.

On peut remarquer à la droite de la porte on peut voir une seconde fenêtre, vue sur le chemin menant à la maison.

Les murs sont décorés avec des jolies fleurs séchées en hiver. L'été elle sont remplacer par un doux parfum de fleur des prairies que Crysania prend soin de cueillir.

Une étagère est dressée sur le mur du fond près de la fenêtre. Quelques fioles y sont déposées.

Dans un coin, on peut y voir une amoire... Un vaisellier.

La chaumière n'a rien de vraiment extraordinaire, ni avec des gros gout de luxure, mais elle est tout simplement simple.

Crysania le regarda observer l'intérieur. Elle se dirigea vers la cheminer pour l'allumer. Elle prit quelques brindilles qu'elle alluma ave des allumettes. Un coup que le feu soit prit, elle empoigna une buche, tout en la gardant dans sa main droite, elle la laissa se réchauffé avant de la déposer sur les flammes. Elle se releva et déposa son regard sur Gwalchjune

La pièce est petite, elle va se réchauffer rapidement... Vous pouvez vous s'assoir... Je vais sortir deux verres.

En enlevant sa cape noir, qu'elle déposa sur un des volets, elle se dirigea vers l'amoire pour y prendre deux verres qu'elle déposa sur la table en empillant dans un coin parchemins, la plume et l'encre.

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-Elle est bien chaleureuse votre petite chaumière.

Gwalchjune continue à scruter la pièce tout en déposant l'outre de cidre sur la table et s'asseoit sur le rebord de la fenêtre pendant que Crysania atise le feu. Lorsqu'elle se retourne pour le regarder, il a un petit sourire moqueur sur les lèvres, ce petit sourire annonciateur d'un manque de sérieux à venir.

-Un lieutenant bien établie comme vous. Vous n'avez pas décoré avec un gros gout de luxure je trouve. Je me demande bien ou vous la cachez votre luxure.

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Elle se retourna à nouveau, regardant son Sergent au sourire moqueur qui s'était installé près de la fenêtre.

Pourquoi la luxure. Est-ce un besoin essentiel ? … Je ne crois pas… J’aime bien la simplicité de ma demeure… Pour faire changement de mon esprit compliquer… C’est chaleureux, tranquille et jolie… Enfin je trouve cela jolie… Je ne vise pas tellement les grandeurs… Même si je suis à la politique…

Elle prit le chandelier qui avait sur la table, dresser d’une chandelle, se dirigea vers le feu pour l’allumer et la remit au milieu de la table.

Et puis le blé, il est beau ? Lui dit-elle avec le sourire

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Gwalchjune plisse un instant les yeux. Voyant que Crysania ne semblait pas avoir envie d'élaborer sur son petit jeu de mot poursuivi:

-Essentiel, non bien sur. Il est tant de ces petits plaisirs de la vie qui traînent par ci par là... Il ne serait pas sain de les ignorer tous en faveur d'un seul. Mais bon, il semblerait que pour vous faire rire je sois obligé de vous faire boire.

Alors que Crysania pose le chandelier sur la table, Gwalchjune vient l'y rejoindre et commence a verser le cidre dans les gobelets. Lorsqu'elle lui demande pour son blé il répond:

-Et bien, vu de la fenêtre il semble se diriger vers sa maturité. Et votre second champ? En jachère?

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Crysania écouta de Gwalchjune, ses yeux s’écarta. Elle n’arrivait pas se qu’il venait de dire… Elle qui n’avait pas comprit ça question dans cette direction là. Elle était bouche bée.

Ah… euh… bien… euh… Elle reprit ses esprit, après avoir bafouillée. Me faire boire ?... Pour me faire parler !... Mais qu’est ce que vous voulez que je vous dise… Que se genre de chose, on devrait le partager avec tout un chacun… A notre guise ? Sans se priver pour une seule personne. ?

Quand elle vit Gwalchjune servir le cidre, elle se laissa, tomber sur sa chaise.

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Gwalchjune s'assoie à la table et prend une bonne gorgée de cidre. Souriant il poursuit:

-Hum! Crysania, vous passez trop de temps à discuter politique. Vous prenez cette habitude de tout retourner les phrases! Depuis quand rire est-il parler? Je vous offre de boire pour trouver la légèreté nécessaire à apprécier mon humour que certains qualifient de grossier (regarde Crysania dans les yeux, un peu accusateur) et vous m'accusez de conduire un proçès? J'ai bien envie de prétendre me vexer afin de vous apprendre moi à mettre des intentions dans ma tête. Seulement, avoir l'air vexé je trouve cela ennuyant alors je vais vous laisser vous en sortir cette fois.

Prend une nouvelle gorgée

-Et puis c'est quoi cette histoire de privation et de partage sur un ton irrité? Je ne vous suis pas très bien. Ma question sur votre champ en jachère était toute innocente. Je ne viens pas vous voler le secrèt de la santé de votre champ de blé. Nous pouvons très bien parler de la température si vous voulez.

Termine son verre puis l'emplit à nouveau.

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Regardant son verre de cidre, elle fini par l’approcher à sa bouche en regardant Gwalchjune en prendre une gorger. Elle fit de même. Elle le laissa couler dans sa bouche doucement en savourant le goût, qu’elle appréciait, puisque c’était la première fois qu’elle goûtait. Elle écouta Gwalchjune.

Nenon, rire n’est pas parlé… Je suis désolée j’ai sûrement mal interpréter vos paroles…

Elle continua à l’écouter et commença à se sentir mal un peu… Elle n’avait nullement l’intention de l’accuser de quoi que se soit, ni de le vexer…

Pardonnez moi !... Je n’avais pas ces intentions là mon cher Gwalchjune. Vous savez bien que j’aime votre compagnie. J’ai mal interprété certaines de vos paroles si ce n’est qu’un peu de ci ou de ça qui me tracasse…. Je ne laisse point mon champ en jachère… Là c’est moi qui à de la difficulté à vous suivre… Lui dit-elle en laissant un rire s’échapper.

Et en plus, je ne vous ai pas accusé de vouloir me voler mes secrets. Je n’ai point, si ce n’est que de le regarder pousser. De lui apporter une certaine présence… Oui, je sais… C’est complètement fou ce que je viens de dire… Mais enfin…

Elle fit tournoyer le liquide dans le verre avant d’en prendre une seconde gorgé.

Merci pour le cidre, il est vraiment savoureux. Je ne me rappel point d’avoir goûté à un tel délice…

Elle prit encore une gorger qui vida le verre. Elle regarda Gwalchjune, non pas pour qu’il remplice, mais elle pensa à ce qu’il avait déjà dit… Qu’il voulait partir. Elle ne savait pas très bien comment réagir. Une chose qu’elle savait, qu’il allait fortement lui manquer s’il quittait la Savoie.

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Voyant que Crysania déposait son gobelet, il se leva pour lui emplir. Il avait perdu son sourire. Pendant que le liquide coule, Gwalchjune poursuit:

-Ce cidre vient de bien loin. C'est un souvenir du voyage que j'ai fait pour... euh! ... pour voir la mer. La mer est si belle vous savez. La dernière fois le courage m'a manqué et je n'ai pu y rester. Je suis revenu. Vous savez, j'ai envie de le reprendre mon pélerinage. J'étais dans un abaye et les moines m'ont mis à la porte avant que je ne puisse mesurer totalement la valeur de mon existance.

Ayant terminé de servir Crysania, Gwalchjune se rassoit et vide son gobelet pour le remplir tout de suite après.

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Crysania apperçu Gwalchjune avait perdu son si beau sourire. Elle l'écouta et regardait son verre pendant qu'il le remplisait.

Ah oui!... La mer... J'ai vu la mer à Mâcon, ça sentait pas mal le poisson... Dit-elle en ricanant en le regardant s'assoir et se remplir à nouveau. Elle prit une gorger et reprit.

Je comprend, pour un cheminement personnelle, vous avez envie de retourner en pelerinage, mais enfin, on peut toujours évoluer, s'explorer, sans nécessairement être en pelerinage. Vous dites avoir manqué de courage. Du courage pour qu'elle raison, qu'est ce qu'il est arriver pour que vous aillez envie de partir ?

Elle reprit une gorger.

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Sans perdre son sérieux, Gwalchjune s'enfile une autre rasade, empli son gobelet à nouveau et tend l'outre à Crysania en disant:

-J'aime bien l'odeur du poisson moi. Cela me rappelle ma vieille mère qui en cuisait bien plus souvent qu'elle ne se lavait. Ah, nostalgie quand tu nous frappe. Je dois retenir cela de mon père. Quand j'étais très jeune, il allait à des rencontres pour gens nostalgiques et revenait toujours avec un petit quelque chose à manger pour moi. Un jour il a cessé d'y aller. Quand je lui ai demandé pourquoi, il m'a simplement dit que ces réunions n'étaient plus ce qu'elles étaient dans le bon vieux temps.

Gwalchjune prend une pause pour finir son gobelet à nouveau. Quand il recommence à parler son débit est plus sourd et plus lent:

-Mais pour revenir à mon histoire. À peine si j'étais pubère quand c'est arrivé. Je sortais d'une soirée bien arrosée à la Burgienne Joyeuse. Je fréquentais une jeune femme, une femme très amusante, sa légèreté et sa joie de vivre me donnait le plaisir d'une bonne pluie sur mon champ de blé. Elle avait trop bu elle aussi et tout deux devions aller à la caserne. Je lui ai donc offert d'y aller ensemble, sans mauvaise intentions aucune. Comme nous sentions la robine, je lui ai offert qu'on aille se laver à la source près de chez elle, question de ne pas se faire prendre par le capitaine à la milice.

Gwalchjune marque une pause pour boire un autre verre de cidre. Puis un autre.

-Chez là, a chette chourse que... que j'étais pu moé même. Pi... J'me chu vu une bête dans chez yeux. Chu pareil comme mon père, comme les hommes pi... pi... ben... j'ai pardu foi en moé. La mer. J'voulais aller en finir dans mer. Mais yé pas pu sauter.

Gwalchjune prend un nouveau verre de cidre.

-Mais cé pas s'quossé qu'chu v'nu fer icitte que d'déblatérer su dé vieilles zistoires.

Gwalchjune prend un nouveau verre de cidre.

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Crysania l’écouta sans dire un mot. Elle l’écouta, le regarda et bu avec lui. Ne buvant pas aussi rapidement que lui cependant. Petite gorger, une à une, doucement, entre quelques bouts de phrase. Elle trouva triste qu’il s’est vu une bête dans les yeux de la damoiselle.

Mon ami… Je ne vous vois pas comme une bête. Mais plutôt, comme un être humain. Un être rempli d’émotion et de sentiment aussi fort les uns des autres… Vous devriez arrêter de rabaisser de la sorte.

Elle se leva doucement, prit sa chaise et la déposa juste à coté de Gwalchjune. Elle s’étira le bras pour rapprocher son verre et s’assit sur sa chaise.

Crysania mit sa main droit sur son épaule gauche, se rapprochant de lui un peu plus. Sa main gauche se déposa sur son avant bras.

Ne vous en faite pas… Je vous ai demande de me parler de se qui s’était passé… Je suis heureuse que vous n’aillez pas eu ce courage… Autrement, nous ne saurions pas ici à discuter… Je n’aurais pas pu vous connaître… Vous valez la peine d’être connu…

Elle glissa sa main gauche de l’avant bras de Gwalchjune jusqu’au verre de cidre pour prendre la dernière gorger.

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Gwalchjune parut se calmer un instant quand Crysania posa sa main sur lui. Il n'avait plus envie de boire. Il avait envie... enfin, de quoi avait-il envie? Il pensait qu'il savait mais finalement non. Il parla d'une voix basse:

-Li eu tenant. zzme rabaise pa. Y vou wé clair.

Puis il se tourne pour regarder Crysania dans les yeux pendant un moment et ajoute:

-Ben. Y voit claaaeir presqu'tout le teeeemps! Ben! y voit clair toute l'temps mais... mais dès fois y veut pas comprendre. Achumer des zidéées. Achumer des zé moitions. Cé deux mooondes ben naparr. Dé zémotions cha dichecute paaaas.

Gwalchjune se lève, chambranlant:

-Ma zalé bou wère au puits.

Il veut alors se diriger vers la porte mais s'enfarge sur la chaise et s'affesse de tout son long sur le sol, inanimé.

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Crysania avait appuyé sa tête sur le bras de Gwalchjune pendant se temps. Elle avait un peu de misère à le comprendre. Il avait vraiment trop bu. Chaque mot prononcé, elle avait l’oreille à l’écouter.

Quand il se tourna vers elle pour la regarder, elle releva la tête. Leur regard se plongea l’un dans l’autre. Elle lui fit un sourire.

Oui… C’est vrai que ce n’est pas facile de tout assumer.

Elle soupira.

Surtout les émotions. On les cache… On se met à soit même. On croit que ça va passer…

Quand il lui dit qu’il voulait aller boire au puit, elle se décolla pour lui laisser suffisamment de place pour qu’il puisse se lever. Il n’était pas très bien équilibré. Il n’avait pas fait deux pas, qu’il se retrouva par terre. Il ne bougeait plus. Crysania se leva et s’agenouilla près de lui.

Gwalchjune ! Gwalchjune ?!

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Gwalchjune attendit que Crysania soit bien pres de lui puis fit un brusque volte face et cria:

-BOOOOUUUUUUU!!!!!

Puis se mit a rire tres fort, peinant a dire:

-Ahaha! Vous.... Ahahaa Vous pensiez AHHAHaha que j'etais saoul hahaha! Un gars gros comme moi hahahahaAHAHAH!

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Soulagée qu'elle était !... Le voir rire lui arracha un grand sourire au lèvres. Elle le regardant dans les yeux lui tappotant le ventre.

Oui Messire votre corpulance fait de vous un être assez résistant... J'aurais du me méfier.

Vous êtes tout un taquin, je vous dis...

Une pensée lui passa à l'esprit. Sa corpulance était t-elle à ne pas être chatouilleux ?... Son regard se changea. Il était devenu plus taquin.

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Gwalchjune ne pouvait s'empêcher de sourire en la regardant. Mais soudain il vit le regard de Crysania changer. Elle semblait avoir eut une idée machiavélique.

Gwalchjune se remit à rire, fit mousser la panique qui s'installait et voulut s'éloigner d'elle en vitesse car il savait qu'il ne pouvait lui résister.

Mais serait-il assez rapide?

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Toujours sur le sol avec Gwalchjune, la main encore sur son ventre, le sourire malin.

Elle pu remarquer qu’il se doutait qu’elle préparait quelque chose, elle sentait la panique s’installer en lui. Il ne fallait pas qu’il est le temps de se lever ou se mettre à ramper.
Elle n’avait nullement le goût de se mettre à courir après lui.

Sa main sur son ventre, elle commença à tapoter des doigts. Rapidement, elle se mit à lui faire des tapotages plus chatouilleux en glissant sa main sur ces côtés.

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*Nefertary* cogna a la porte de sa meilleure amie Crysania et attendit que la porte s ouvre

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Crysania entendit un cognement venant de la porte. Elle dut s'arrêter de chatouiller Gwalchjune pour aller répondre.

Elle le regarda, l'air un peu déçu d'être oubliger de lacher sa proie. La jeune femme se releva et se dirigea vers la porte et l'ouvrit doucement.

Derrière la porte elle vit sa très jolie amie, Nefertary. Avec un grand sourire, elle lui fit un signe d'entrer.

Bonjour ma chère amie !! Contente de te voir. Allez entre !... Comment vas-tu ?... Ah ... euh... Il y a Messire Gwalchjune qui est là...

Derrière Nefertary, après qu'elle soit rentrer,Crysania referma la porte.